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 Le plus grand des questionnement ¤ LIBRE ¤ ( M )

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Cynn


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MessageSujet: Le plus grand des questionnement ¤ LIBRE ¤ ( M )   Le plus grand des questionnement ¤ LIBRE ¤ ( M ) Icon_minitime3/10/2012, 06:52

La jeune femelle fixait le néant de l'océan, en cette nuit sans lune. Seules les étoiles luisaient dans le ciel, alors que l'astre, lui, finissait son cycle. Elle était là, se remémorant diverses histoires familiales, y comprit les légendes et autre. Une histoire en particulier...

« Elle était là, à l’étang.
Seule.
Le froid mordant sa fourrure.
Neutre. Coquille vide.

Le paysage printanier défilait devant ses yeux éteins, ses yeux troublés par l’absence de réalité dans son esprit. Elle… Elle ne comprenait plus. Elle… Elle avait dormi pendant six ans, s’était réveillée, comme si cela ne s’était jamais produit. S’était réveillée près de lui. Près de celui qu’elle percevait comme son protecteur, celui avec qui elle avait fait un pacte. Pacte qu’elle ne pouvait réaliser avoir brisé puisqu’elle avait tout oublié. Cette innocence si brusquement retrouvée, et si brusquement brisé en milles et uns éclats clairs comme des cristaux. Tout se rêve s’était envolé en quelques secondes à peine. Quelques secondes du plus pur des enfers. Les arbres passaient près d’elle, ou plutôt elle passait près d’eux, qui la dominaient de toute leur hauteur. Ces grands êtres qui le craignent pas les orages, qui ne craignent pas le vent, endurcit par leur tronc couvert d’une écorce solide et protectrice, donnant naissance chaque année à des centaines de bourgeons qui plus tard deviendraient un épais manteau de feuilles… La pureté et le cliquetis clair d’un ruisseau qui s’écoulait au loin, continuant de couler qu’importe ce qui pouvait bien se passer… De la terre humide, foulées par des milliards d’autres êtres vivants avant elle, terne, brunâtre… Un vent glacé soufflant, lui empoignant l’échine, caressant ses fraîches cicatrices dénudées de poils. Ses ailes traînaient sur le sol rocailleux, abîmant ses longues plumes colorées. Son âme s’était éteinte, sa voix s’était fanée, elle ne croyait plus en rien. Plus en elle. Plus en les autres. Elle ne croyait plus aux évidences.
Ne croyais plus au silence. Ne croyais plus au soleil.
Brisée, telle une brindille sous la patte d’un chasseur. Le moindre sourire l’effrayait, aussi pur soit-il. Le vent n’avait jamais été plus froid et la pluie plus violente que ce soir-là. Ce soir où ses yeux éteints parcourraient passivement ses pattes.

Elle s’arrêta lorsque ses dernières trempèrent dans une substance encore plus froide que le sol lui-même : de l’eau. Ainsi son regard se leva, constatant qu’elle se trouvait à l’étang, où plusieurs canards la dévisageait l’air de rien. Pas même un soupir.
Pas même un mot. Silence.
Elle reprit son avancée, trempant son corps déjà glacé dans le liquide toujours plus froid, avant de se hisser sur un rocher plat, près du centre dudit étang. Dégoulinante, le corps secouer par une salve de frissons incontrôlable qu’elle ne savait même pas constater, la femelle se coucha sur la pierre froide, laissant ses ailles glisser dans l’étang.
Elle s’en fichait.

Elle n’avait ni chaud, ni froid. Elle n’entendait pas son corps tout entier qui lui hurlait de s’abriter pour conserver sa chaleur. Elle n’entendait pas son instinct la sermonner et lui intimer de faire attention. Déjà plusieurs jours, peut-être même quelques semaines, qu’elle errait, silencieuse, sans but. Sa fourrure se ternissait, s’asséchait, ses côtes formaient des vagues abruptes sur sa peau. Ses pattes, longues, minces. Son visage tiré par la fatigue, par l’indifférence, par le mal et la souffrance… Pleurer? Non, elle n’en avait pas la force, par le courage. Pas la force… Elle ne bougeait pas, sa fourrure dansant au gré du vent tel les hautes herbes d’une prairie. Oui, Kane n’était qu’une prairie. Vide. Balayée par le vent. Glacée. Elle ne sentait pas la douleur de ses blessures. Elle ne sentait pas non plus les changements s’opérant dans son propre ventre. Elle n’était qu’une ombre vide portant l’ébauche d’une vie. Un petit projet des Dieux qui lui était totalement inconnu. Combien seraient-ils? Survivraient-ils seulement? Qui seraient-ils? Un frisson lui déchira le dos alors qu’elle décrivait machinalement des cercles dans l’eau d’une patte. Emporté par les larmes de la grande femelle, le ciel sembla lui aussi se morfondre de gris sourd et d’enchevêtrement de nuages qui se mirent à verser à leur tour de fines perles humides. Ces dernières se perdirent rapidement dans la terre, dans l’étang et entre les poils de la femelle, glissant sur ses plumes aux grés de la gravité et du vent. Ce fut finalement une averse qui s’abattit sur la louve, une violence averse, qui déchaîna des murs d’eau qui brouillèrent la vue de tout être vivant en elles-mêmes et de par le brouillard qu’elles soulevaient. Elle ne pouvait et ne pourrait pas assumer le poids de ce qui naîtrait de cette situation. Elle ne pouvait pas laisser ces petits venir au monde, car ils n’étaient pas désirés, ils n’avaient pas de père, rien qui puisse offrir une stabilité adéquate. Elle ne pouvait pas condamner ces futurs petits êtres à exister.

Elle soupira, se repliant sur elle-même. Devait-elle se réfugier ailleurs, ou devait-elle rester là, aux mercis de mère nature? Elle ne savait pas. Un bruit de pataugement la fit tourner la tête lentement, alors que son regard vide se posait sur un petit louveteau qui s’était rendu jusqu’à son rocher. Ce dernier planta son regard innocent dans celui, vide, lassé et détruit, de la vieille femelle, avant de lâcher d’une petite voix toute aussi calme et un brin enjouée ;

- Pourquoi vous restez dehors comme ça, madame? Vous allez attraper un rhume!

Le bambin souriant leva une de ses pattes avant, la posant maladroitement sur le museau bourgogne de l’ailée qui, elle, ne bougeait pas du tout. Le petit recula donc légèrement, passant un coup de langue sur la truffe de la femelle.

- Souriez, madame! Le soleil il va revenir, vous savez!

Que d’innocence, foudroyante, prenante. Allons en même jusqu’à dire sidérante. Fixant le petit être de ses yeux à la pupille verticale, le visage de la grande louve sembla se déchirer, se rompre en une infinité de parcelles de verre fendu. Un soupir à la fois rauque et aigu lui sorti des entrailles et elle se rabattit sur elle-même, glissant dans l’eau. Perçant le silence d’une longue plainte aigue, la louve ne prit même pas le temps de se retourner pour voir l’enfant qui la toisait, perplexe, sachant qu’il avait sans doute fait quelque chose de mal. Pourtant, la grande femelle souleva de vives vagues d’eau sur son passage, prenant délibérément la fuite, une série de larmes salées lui dégoulinant sur les joues, se mêlant avec les larmes froides des nuages. Elle s’arrêta beaucoup plus loin, à bout de souffle, s’écroulant sur le côté dans une fine flaque boueuse. Les paupières de l’œil gauche collées par la substance sale, Kane ne tenta même pas de bouger ou de s’éloigner de son « lit » humide et poisseux. Elle resta dons la, ses poils d’ivoire et ses plumes vermeilles se ternissant dans le brun gris de la boue. Ses flancs se soulevaient régulièrement, parcourut parfois d’une série de soubresauts. L’air frais lui pinçait les narines et, pourtant, cela ne sembla même pas la motiver à bouger, pas plus que la famille de canard qui la fixait curieusement. Un adulte et trois, voire quatre, cannetons. Ces derniers, curieux, s’approchèrent de la louve, lui picorant la truffe. Celle-ci ne réagit même pas, les fixant d’un regard lointain, comme si elle ne les voyait pas. Quelques chants d’oiseaux et de grenouilles par-ci et l’omniprésence de la pluie s’abattant sur tout objet à sa merci… Puis finalement la faible de voix de la femelle, qui fendit ce silence naturel ;

- Vous semblez si paisibles, canards, vous qui pourtant êtes les proies de tant d’autres créatures… Comment faites-vous pour réussir à vivre comme si aucune menace ne planait sur vous? Toi, canne, as-tu eut ces petits de ton plein gré? Si non, pourquoi les as-tu gardés? Qu’est-ce qui t’as poussée à vouloir ainsi une famille malgré que leur père ne soit même pas à tes côtés et que tu sois toute seule pour les élever tous de la bonne façon, sans négliger un seul d’entre eux? Comment fais-tu, mère canne? Devrais-je faire comme toi? Devrais-je accepté ce qui m’arrive et élever ceux qui naîtront de tout cela? Devrais-je accepter d’imposer la vie à cet ou ces êtres qui n’auront jamais demandés à naître, qui n’auront en fait jamais été voulu, jamais été prévus? Eux qui naîtront d’une des plus grandes bévues… J’ai dormit pendant six longues années, et pourtant… Je ne comprends pas… Le sommeil n’apporte pas réellement conseils, sinon j’aurais déjà compris ce qu’on attend de moi. Méphisto m’as dit de ne pas faire confiance aux Dieux, aux Seigneurs et à toutes ces choses-là. A-t-il raison? Sans doute, mais qui alors à décider que cela devait arriver? Pourquoi cet idiot de loup noir aux cheveux blonds parlait-il comme s’il me connaissait? Que s’est-il réellement passé? Dois-je croire ce loup inconnu, ou croire celui que je connais, mais qui semble si étrange à la fois? Que devrais-je faire, mère canne, si l’un d’eux me mentait? Qui a raison dans toute cette histoire. Si je n’ai pas réellement dormi, qu’ai-je donc fait? Et pourquoi Méphisto ne m’en a rien dit? Ou alors se serais-ce que des balivernes inventées par ce sale loup pour mieux me provoquer, pour mieux me faire tomber dans le panneau, tout en se trimbalant disgracieusement avec notre relique familiale? Qui dit vrai, qui dit faux?

La canne cancana légèrement, toisant la louve en se disant que cette dernière était totalement tarée de faire dans de bla bla dans une langue qu’elle ne comprenait même pas. Elle restait néanmoins là, immobile, stoïque. Et Kane continua ;

- Mais je préfère croire celui des deux que je connais, je sais qu’il ne me mentirait pas. Pourquoi ferait-il cela de toute façon, ce serait idiot. C’est donc cet inconnu, celui qui m’as fait ça, qui est le menteur et le profiteur, dans cette histoire. Ce… « Ulric », comme il dit s’appeler. Il a volé ce qui appartenait à ma famille, à ma mère, puis… Ça… La seule chose que je voulais, c’était récupéré le précieux casque de ma mère… Pas… Ça… Oui, j’accorde, je me suis montrée agressive, j’ai attaqué même, mais il le cherchait! Il était impoli et agressif, me parlant comme s’il me connaissait depuis toujours, me parlant d’un marché concernant le crâne et le liquide de l’antre. Il a bien monté son coup… Il m’a bien eut. Mais j’ai dormit, donc c’est impossible que ce qu’il avançait soit vrai! Hrmpf, j’aurais dut faire plus attention… Mais en échange, il n’aurait jamais dut faire ça.

Un frisson lui laboura l’échine sous les salves de pensées, de souvenirs, qu’elle épargna soigneusement à la canne. Pourquoi se remémorer des détails si… cuisants, si honteux? Son dos était labourés des plaies de ces souvenirs, c’était déjà bien assez pour elle. Remuant légèrement, la femelle soupira de nouveau. Oui, ces longues plaies lui rappelaient plus que trop bien la violence de toute cette altercation, mais heureusement elle n’avait pas été la seule à souffrir. Non, elle s’était défendue. Jamais elle ne se serait soumise si facilement. Non, Kane avait lutté. Avant, pendant, après. Et elle continuerait de lutter sans arrêt. Ce qu’elle savait, c’est que le salaud ne pourrait jamais recommencer ce qu’il avait fait. Maigre consolation, mais tout de même mieux que rien. Sans ses bijoux de familles, le loup n’en était plus totalement un, et tant mieux pour lui. Malgré tout, même cette pensée ne parvint pas à arracher un sourire à la belle. Et que penseraient les autres de tout cela? Lui diraient-ils des idioties du genre « tu l’as cherché, t’es une catin »? Cette seule pensée froissa de nouveau le visage de la femelle. Qu’était-elle, maintenant? Une louve, sale, qui n’avait pas été assez forte pour éviter ce que lui avait réservé son bourreau. Et que ferait-elle, si les autres la reniaient? Si ses parents la mettaient de côté? Si son cher et tendre l’envoyait paître? Si son frère l’insultait? Et si tous les autres qu’elle connaissait s’évanouissaient dans les moqueries et méchancetés? Retournerait-elle délibérément envers ce bourreau? Retournerait-elle volontairement entre les pattes de celui qui lui avait administré un tel sort et une telle série de « problèmes »? Elle ne savait point. Elle ne savait point, mais elle savait que si les siens la rejetait, elle ne pourrait jamais élever les petits toute seule. Si elle décidait de leur laisser la vie sauve, et qu’elle finissait toute seule, elle n’aurait pas le choix et devrait se tourner vers le premier venu. Cette simple pensé lui tordit le visage en un air de dégout des plus profonds. Oh, oui, malgré cette mésaventure, la mauvaise Kane semblait définitivement partie. Les spectres de folie l’avaient quitté, ils étaient partis. Ils ne pouvaient pas la reprendre.

Elle était à l’article du désespoir, si bien que, se levant d’un vif mouvement, la louve planta ses crocs dans la mère canne, qui n’eut pas le temps de réagir. La haine. Secouant le corps déjà mort du volatile, la femelle s’éloigna un brin, avant de lâcher la carcasse. Le regard des canetons terrorisés la firent craquer. Elle éclata une fois de plus en sanglot. Es-ce cela le réel désespoir? Sans doute.

L’ailée était détruite.
L’ailée était faible.
L’ailée était perdue.
L’ailée avait peur.

Que faire, que penser, torture. Torture. Que pouvait-elle faire, que pourrait-elle faire? S’écroulant au sol dans un soupir faible, secouée de soubresauts, la louve fixait le canard ensanglanté. Elle avait tué une mère. Elle avait tué la seule chance de survie des canetons. Et pourtant. Pourtant, la louve y vit là une solution. Tremblante, elle se releva péniblement, agrippant le reste du volatile dans sa gueule. Son regard était de nouveau vide, ses mouvements lents. Elle savait. Elle se détourna, revenant sur ses pas, vers l’étang, la pluie continuant de s’abattre comme une douche de clous. Le petit était toujours là, tremblant. Elle avait compris. Il n’avait pas de parents.

Kane déposa le canard près du jeune, avant de se coucher plus loin, sans un mot, sous le regard hésitant, effrayé et perdu du petit, qui finalement mangea tranquillement. Couchée dos au petit, sur l’herbe détrempée, elle regardant les arbres se tordre sous la force du vent. Elle observait l’évolution du monde. Dieux, pas dieux. Seigneurs, pas seigneurs. Les mots de son cher lui revenaient sans cesse. « Les dieux et les seigneurs ne sont rien, un jour, nous les bannirons et deviendrons rois ». Qu’entendait-il par-là? Qui était le « on »? Était-ce général ou parlait-il d’eux deux? Se sentant faiblir de nouveau, la louve se replia sur elle-même, puis sursauta, soulevant une aile, y découvrant le louveteau, qui la fixait de ses grands yeux perdus, la gueule rougie par le sang du canard.

Soupir. Elle reposa son aile, attirant le petit dans les longs poils de ses flancs. Reste au chaud, petit. Profite de ta chance, de ta vie. Ne soit pas pressé de grandir. Elle se roula en boule, le jeune blottit contre elle, sous son aile, au sec et au chaud. Elle, martelée par la pluie, blessée, détruite, seule, le protégeant, sans raisons.

L’instinct.
L’instinct d’une mère.
Rien n’est plus fort.
Rien n’est plus puissant.
Là où même la mort règne, la mère est une déesse portant la vie.
Éternelle. »

Elle soupira, laissant le vent la balloter de gauche à droite. Cette histoire, c'était celle de sa mère. Celle de sa naissance, de sa création, mais, cela, Memphis ne le savait pas. Elle ne connaissait que l'histoire, que sa mère, justement, lui racontait, après avoir changé de nom, pour lui faire comprendre que rien n'est perdu d'avance et que tout se gagnait au rythme d'efforts puissants et soutenus. Memphis y faisait honneur. Et lui ferait toujours honneur, même si, aujourd'hui, sa mère n'était plus, emportée par l'âge. Memphis, quel mystère es-tu, toi qui ignores même ton passé...

Elle leva le museau vers le ciel, laissant couler un long hurlement, en mémoire à sa mère. Memphis venait d'un tout autre monde, oui. Un monde fuit pour mieux vivre, loin de tout cela. Loin...

« Là où même la mort règne, la mère est une déesse portant la vie... »

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MessageSujet: Re: Le plus grand des questionnement ¤ LIBRE ¤ ( M )   Le plus grand des questionnement ¤ LIBRE ¤ ( M ) Icon_minitime27/10/2012, 19:04

Akuma regarda la louve crier et parlé toute seul , il lui dit sans lui faire peur :

« Bonjours jeune demoiselle , puis-je vous demander de bien vouloir faire moins de bruit s'il vous plaît , je croyais que quelqu'un avait des ennuis et j'adore aider les gents qui sont en danger malgré que je soit un clan de la mort ... »

Akuma ne voulait pas faire de peur a la louve , il faisait un sourire en regardant la louve qui regardais ailleurs . Akuma repris :

« Je suis Akuma démon de la mort , puis-je savoir le votre ? Ce n'est pas tout les jours que je vois quelqu'un … je suis tout le temps seul et puis après je rencontre , après c'est fini et je repart pour 3 semaines tout seul en mourant de faim et de soif . »

Akuma s'assit ensuite , puis regarda la louve .

(ps : je ne fait pas de grang rp comme toi ^^)
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MessageSujet: Re: Le plus grand des questionnement ¤ LIBRE ¤ ( M )   Le plus grand des questionnement ¤ LIBRE ¤ ( M ) Icon_minitime28/10/2012, 03:25

( bien lire le rp, merci, l'histoire entre " « ... » " n'est que dans la tête de Memphis, y'a rien a "voir" ou "entendre", merci )
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MessageSujet: Re: Le plus grand des questionnement ¤ LIBRE ¤ ( M )   Le plus grand des questionnement ¤ LIBRE ¤ ( M ) Icon_minitime2/11/2012, 16:32

( Du nouveau? Sinon je dits a Dante qui veut joindre le topic de poster en ignorant ton poste, que tu n'auras qu'à modifier et poster plus tard dans le rp ? )
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MessageSujet: Re: Le plus grand des questionnement ¤ LIBRE ¤ ( M )   Le plus grand des questionnement ¤ LIBRE ¤ ( M ) Icon_minitime6/11/2012, 17:08

- LIBRE DE NOUVEAU -

Faites attention, tout ce qui se trouve entre les « ... » sont des PENSÉES Smile.
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